Il fut un temps, désormais assez lointain, mais somme tout assez long, où le prix de l’abonnement téléphonique était fixe…
Puis vint le temps d’internet et des mobiles, où naquit le sport de la chasse au « bon forfait », à des prix imbattables, pour la même prestation.
Une courte période s’en suivit, où l’on a pu faire la chasse à des offres « promotionnelles » (mais souvent assorties d’un engagement de 12, 24 ou 48 mois).
Qu’en est-il désormais ?
Les forfaits internet, en tant que tels, se « valent » dorénavant, à quelques euros près.
A ceci près cependant qu’ils contiennent désormais des abonnements TV (forts chers au regard du service rendu), que bien des personnes n’utilisent même plus, puisqu’ayant souscrit à d’autres abonnements, qui sont accessibles de bien d’autres manières !
Quant aux forfaits mobiles, sauf à vivre dans de grandes métropoles desservies par la 5G et « streamer à donf », leurs prix sont devenus sans proportion avec les services rendus, tant ils insistent, non plus du tout sur l’utilisation téléphonique (parfois encore défectueuse dans les campagnes), mas bien plutôt sur celle des datas, pour des forfaits qui, sans doute, sont trop limités pour quelques uns, mais dépassent largement l’utilisation régulière d’un très grand nombre !
C’est en touts cas ce à quoi a conclu ARIASE, suite à une enquête du CREDOC et de l’ARCEP.
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