Dépenser plus pour gagner plus, ce pourrait être le nouveau slogan de l’Elysée.
Il semble en effet que les déplacements multiples de notre Président fasse exploser le budget de la présidence.
Une inflation que ne compense nullement la baisse des dépenses de bouche…
Et qui aura effectivement des conséquences positives sur l’économie française ?
Ou, dit autrement, dont les conséquences économiques n’auraient pu être obtenues sans ces dépenses somptuaires ?
L’efficacité économique de la France est-elle réellement à ce prix ?
En tout état de cause, la diminution de ces dépenses serait inévitablement liées à une baisse de la suractivité de Notre Seigneur, ce qui risquerait de rendre malade Nicolas Sarkozy…
Alors ?
La santé de notre bien-aimé président n’a pas de prix !
Quant à la vente de nos centrales nucléaires, dont Notre Seigneur en est indéniablement le meilleur VRP, les retombées en sont inestimables… au sens propre du mot !
Les restrictions budgétaires ne concernent en tout cas pas tout le monde…
Hélène Juan en a fait sa chronique (L’édito) du 12 Juin : Le budget de l’Elysée : « l’argent n’a pas d’odeur ».
Elle en dit ceci (extraits) :
Après tout, bien des représentants de commerce sont payés à la commission, un pourcentage sur les ventes réalisés, et bien pourquoi le président et ses collabateurs n’auraient-ils pas un budget indexé sur ce qu’ils rapportent aux caisses de l’Etat ?
Quand crédite-t-on à Nicolas Sarkozy la signature d’un contrat avec une entreprise lorsqu’il est en visite à l’étranger ? A chaque fois, ou juste quand sa contribution est décisive ?
Mais il vaut mieux écouter :
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